arrivée pour le moins saugrenue

*à quelques toises de la côte dechiquetée de l'île principale : un gargouillement de l'eau, un remuement, un geyser brutalement vaporisé ; une étrange sphère de métal émerge lentement et glisse vers le sable. Parvenue à destination, elle s'ouvre, et un homme richement vêtu en sort. Il regarde autour de lui, d'un œil critique, et, d'un pas ferme, il se met à marcher en direction des fumerolles orientales qui semblent indiquer une ville.*

*A observé avec interêt la scène qui s'est déroulé à quelques mtres d'elle. les magiciens avaient toujours été pour neyrelle une source de curiosité, et celui-ci, de par son arrivée et son étrange allure, avait de quoi intriguer. Après quelques hésitations, elle s'approche de l'inconnu pour le saluer.*
- Bienvenue sur l'archipel des peuples perdus, puissiez-vous trouver ici tout ce que vous désirez.

*marchant, s'entend interpellé. lève à peine les yeux "et voilà, les premiers indigènes qui viennent me coller aux basques".*
Hum... oui, bonjour, bonjour. C'est cela, bienvenue à vous aussi. Et merci de votre accueil chaleureux. Pardonnez ma brusquerie, mais je suis épuisé par mon voyage, même si cela ne se voit pas.
"cela ne se voit effectivement pas, parce que c'est faux.*

*De plus en plus intriguée par ce mage, et bien décidée à en savoir plus (hj:eh oui, Neyrelle est une chi**se dans l'âme)*
- Oui, cela se voit d'ailleurs que vous êtes..."épuisé". pardonnez ma curiosité mais, d'où venez - vous, vos vêtements ainsi que vos manière ma paraissent étranges.

*toujorus marchant.*
D'où je viens ? Hum, de fort loin et je doute que vous en ayez même jamais entendu parler. Bien que dans la région, le Royaume que je servais éatit le plus grand, le plus important et le plus puissant... mais tout à une fin. Bref, je venais d'Al-Juniran, jeune impudente, et j'en étais le Grand Diplomate.
*...*
Quant à mes manières et mes vêtements, peu me chaut votre avis à leur sujet ! Vais-je dégoiser à propos des vôtres ? Non, n'est-ce pas ?
*poursuit son chemin de plus belle.*

*Souris, commencant vraiment à s'amuser*
- Ainsi vous étiez diplomate ? Intérressant, je dois avouer qu'à la cours de Rolante nous en recvions rarement...peu de personnes souhaitent traiter avec les amazones.

*sent la moquerie voilée et l'amusement de l'Amazone. s'en énerve encore davantage.*
Vous êtes peut-être d'excellentes guerrières, je n'en doute pas un seul instant, encore que vous ayez été défaites comme tout le monde, mais vous êtes des rustres et des frustes. Votre conversation et vos connaissance ne sont d'aucun intérêt, et traiter avec vous aurait relevé du suicide ! Comprendre la politique, voilà qui vous dépasse !
*tout cela a été dit sans s'arrêter, en marchant de plus en plus vite.*