Avec Phaeton

*Arrive des quais, où ils avaient laissé Shaïla, repartie sur la plage les laissant seuls se présenter*
Eh bien nous y voilà. Le comptoir est à toi, je t'attend à cette table, une fois tes présentations faites, et si tu en a s envie, rejoins moi ici, bois un verre, puis nous irons aux fleurs de Zarbul, je te ferai visiter. Comme je suis contente qu'il y ait enfin une autre nymphe ici, nous allons pourvoir échanger nos expériences...
*Le regarde et le laisse se diriger vers le comptoir. Elle, prend place comme elle l'avait dit à une table dans un coin*

*Arrivant dans une sombre tanière avec de petites vitres au multiple carreaux. Il alla au comptoir, prit le livre des ressencements et écrit ce qu'il était nécessaire d'écrire. Puis il se tourna vers la foule assissent sur les chaises en bois autour de vieilles tables ou du comptoir du bar. Il monta sur l'une des tables qui était libre.*
-Chère amis du toute races et d'histoires différentes je vous dit bien bonjours! Je suis Phaeton fils du SOLEIL!
*Il lança un grand sourrire malicieu à la foule puis se tourna vers deux, trois musiciens dans un coin du bar.*
- Allez jouer un petit air pour mettre un peu d'ambience!
*Ils executèrent et il se mit à dancer. Des pétalles voltigaient dans l'air qui sortaient au supose de la nymphe. Après ça danse qui dura quand même un moment il se tourna de nouveau vers son publique et dit d'une voie douce et mystérieuse:*
-Qui souhaite me connaître je suis à la table là-bas, avec Rovail Velthin!
*Il montra d'un geste vif la l'endroit. Il pivota vers le barman.*
-Apportez moi votre eau la plus fraîche venu du puit le plus profond!
*Il lui adressa un clin d'oeil et alla s'assoire.*

*L'observe de loin se montrer à tout le monde puis revenir vers elle*
Je ne sais si tout le monde ici apprécie tant de remu-ménage...vous venez juste d'arriver et déjà vous paraissez si...extraverti!
Je ...disons que je suis beaucoup plus réservée que vous...je pense que si vous voulez vous divertir ici un moment avec d'autres personnes que moi, je vais regagner les fleurs de Zarbul...je suis désolée mais je préfère parler et rester en la compagnie des gens dont j'ai déjà fait la connaissance...j'espère vous retrouver au royaume des nymphes dans un futur proche...je ne souhaite pas trop être exposée à tant de monde, je suis désolée...
*Avait prononcé ces paroles en baissant la tête et à aucun moment, n'avait tenté de regarder la réaction de la nymphe. Se lève et s'apprète à partir*

*écouta se quelle disait avec un peu de tritesse, il regreta un peu son geste. La voyant s'ennalait, il courut la ratraper;*
-Je suis désolé de vous avoir offensé mais si vous le souhaitez aller rejoindre les fleur aller si je vous rejoindrai plutard après avoir fait la connaissance de quelque personne ici enfin s'ils le veulent bien.
*Lui sourrit puis l'embrassa sur la joue et repartit dans la tanière pour attendre qui que se soit qui accepte ça compagnie.*

*Il se rassit à la table où il était tout à leur et attendit. Un peu triste que personne ne soit venu le voir, il commenda une nouvelle carafe d'eau bien fraîche pour noyer son ennui. Il ne devait pas accepter les entrées extravageant ici. Se ferait-il des amis? Oh pour vu que oui, mais pour le moment, il ne pouvait restait là qu'à attendre. Puis il prit un petit verre d'eau et continua à passienter l'arriver d'un inconnu qui souhaiterai bien lui parler.*

*Deçu que personnes ne viennent le voir, il se mit à pleurer interrieurement, puis se décomposa telle une fleurs perdant ses pétales à la fin de l'été. Autour de sa chaise était éparpillée des feuilles, pétales, mortes aux couleurs sombres. La vie devait être injuste avec lui, lui qui avait perdu son chemin et ne pouvait rentrer chez lui dû au sortilège de cette sorcière, et maintenant il était sur une île remplit de personnes qui ne prenaient même pas la peine de lui dire bonjour. Alors à quoi vaux de vivre? Il prit un couteaux qui traînait sur la table et le tendit...

*soudain une voix claire s'éleva. Ninquelen s'était décidée a venir de temps à autre au comptoir afin de chanter l'espoir pour les nouveaux arrivant et de leur rendre un peu de joie.
Elle avait cette fois choisit le thème de l'Aube. Le soleil qui se lève , la renaissance, l'espoir qui s'embrase. Quand elle chantait les regards devenaient moins grave et les soucis s'éloignaient. Chaqun voyait qu'il n'était pas seul et que quand on cherche on trouve toujours un peu d'espoir.*

*Entendant ce chant mélodieu, il sentit la rage qui avait dans son bras disparaître pour laisser place à la joie. Un mince sourrire lui traversa le visage. D'où venait donc cette musique? Il se retourna et vit la barde. Apaisait interrieurement, il reprit des couleurs et les feuilles comme les pétalles, quelques seconde avant mortes, se revigorèrent. Elles prirent des couleurs vives et s'envolèrent dans la pièce répendant un doux parfum avec tout de même une pointe de tristesse. Alors il se leva, alla voir la chanteuse et lui dit:*
-Merci, votre chant m'a fait du bien...
*Il lui fit une révérence et commença à partir. A peine avait-il atteint la porte que...

*Ninquelen sourit a Pheaton et sentant qu'il y a dans sa voix une pointe de tristesse lui demande avant qu'il n'atteigne la porte.*

Que voulez-vous que je vous chante, nymphe ?

-Je ne veux rien que la politesse des gens... Car vous jugez les hommes mais ils ne sont que création comme vous et moi... Et ont caractère soit, mais n'est en moin ils vous saluent! Alors chantais ce que vous voulez cela mais égal, je m'en vait voir le soleil se coucher lui il connait tout et sait vous réconforter tout comme la lune qui se lève et pleure sur votre épaule toutes les larmes de sont amour interdit pour le soleil... lui il est brave, elle elle lest ache, de leurs sentiments. Ils forment l'amour, ils sont triste, ils rêvent, ils vous saluent, vous écoutent et eux aussi ne sont que création comme l'ensemble des choses dans l'univers alors arrêter de haïr les hommes car ils ne sont que moitiée de vous... Ils sont la haine, vous êtes la sagesse. Ils sont le malheur, vous êtes le bonheur. Ils sont les fouetteurs, vous êtes les fouettés mais le fouet à était créer pour cela... Même si tout vous sépare vous n'êtes qu'un et tant que vous n'aurez pas comprit cela vous souffrerez...

*Il monta sa main à ses lèvres puis lui lança un baisser remplit d'amour accompagnait de pétalle de rose. Il tourna talons, ouvrit la lourde porte de chêne et partit...*

-Je ne hait point les hommes, jeune nymphe. Jamais aucun chant de guerre ou de haine n'a passé sur mes lèvres et ma vois chantera toujours joie et espoir...

Pleurez, jeune nymphe car pleurer chasse les peines et la douleur, Pleurez tout comme la Lune... Elle n'est pas lâche; elle pleure les souffrance d'un monde blessé.
Pleurez et éloignez le mal de votre coeur.
Pleurez ! Et quand vous aurez suffisemment pleurez, chantez ! Chantez haut et fort la joie de vivre !

*Le nymphe était parti; il n'avait sans doûte pas entendu les paroles de Ninquelen. Il devait être bien triste songea Ninquelen, Avec délicatesse elle reprit sa harpe et entama un chant pour ce petit nymphe aux feuilles colorées. Il ne l'entendrait pas, mais cela ne comptait pas, elle voulait simplement chanter pour qu'il trouve, un jour, le bonheur.*