Dans la petite salle aux étoiles.

*Le Roy était encore tout surpris de ce qui s'était déroulé. Et assis sur sa chaise à porter, il se levait maintenant pour en desendre et aller voir Valten. Lorsque les serviteurs l'entourèrent, inquiets, il montra qu'il n'avait rien et les écarta pour passer.*
Tout est allé si vite... Comment vont les réfugiés de la grande salle ? Sont-ils blessés ?
*Il avait un regard très concerné, et il s'agita en tout sens pour observer ce qu'il pouvait entrevoir des invités entres les corps gardes*

Valten était toujours étonné de la personalité de ce Roy ,qu'il avait appris peu a peu a travers sa vie au palais, toujours digne voir fier en public mais chez qui, lorsqu'il était en comité restraint, les caractérisitques naturelle de sa race revenaient toujours bien vite , il était rieur joyeux et tériblement energique. Persone ne pouvait dire l'age qu'il pouvait bien avoir mais au palais tous savaient qu'il était monté sur le trône très jeune et qu'il avait imposé a la cour une energie qui ne s'était depuis jamais appaisée, pour leur plus grand bonheur a tous.

_N'ayez crainte, les combattants se sont rangés et j'ai ouï dire dans la foule des réfugiers que la femme qui soignée la Sylphe était une angeresse. Vous qui les conaissaient bien, pensser-vous qu'elle pourra guérir la pauvre élémentaire de son mal ?

*Le Roy se détourna alors de la salle pour faire face à Valten*
Tant mieux dans ce cas. J'ai eu peur qu'ils s'infligent des dommages trop importants... Certains ont l'air d'être des combattans aguerris !
*Puis il réfléchit vaguement et parla plus bas*
Les sylphes sont des étranges et pas toujours prévisibles. Cependant, l'ange qui est arrivée à l'air de savoir ce qu'elle fait. Je pense que nous pouvons lui faire confiance.
*Il releva les yeux soudainement*
Je ne veux pas m'adresser aux réfugiés dans un tel climat de terreur et de haine. Il va falloir attendre encore... et si possible, attendre que cette Sylphe soit soignée.
*Il regarda par dessus son épaule*
Si jamais vous voyez qu'elles ont besoin d'aide, n'hésitez pas à envoyer quelques lutins.

-Biens sur monseigneur je n'y manquerai pas. Il me semble que les cris se sont calmés, j'entend une douce méloppé serait-ce notre amie la barde ? Je vais aller querir les derniéres nouvelles, si le climat de la salle s'est calmé, je vous conseille fortement de déclamer votre grande nouvelle avant que de nouveaux incidents n'éclattent.