une silhouette dans l'ombre

une ombre debout sur le promontoire du lac, fait des gestes étranges, et psalmodie en une langue inconnu. il jeta une boule de feu dans sur le sol. il fut enfin entouré des quatres éléments le feu, l'eau, la terre et l'air. il l'est réuni en lui-même ce qui provoqua une explosion dans son corps. Pour certain être, cela aurait put être mortel, mais lui semblait invulnérable. ce qui expliquait peut-être son comportement suicidère. il se mit à hurler à une lune rouge:
"pourquoi ? pourquoi ne puis-je pas mourir ? je suis fatigué de faire semblant. je suis fatigué de mon passé et de mon avenir. je connais mes actes et j'en ai pris conscience, mais pourquoi suis-je coincé ? aimez-vous voir souffrir les gens ? ..."
Notos s'arreta, car il sentit une présence.

Bezariel sentait le désarroi de cet être créé pour lutter contre la lumière, forger à détruire le métal pur, destinné à éternellement disputer les ames du moindre mortel...Il décida donc de ne pas faire montre de quelque impolitesse et ne cacha pas sa présence. Il s'approcha de cet être en proie au doute.Toujours la capuche baissée sur son visage, il parla d'une voix rpofonde et hors d'age, le genre de ton qui vous glace, vous pénètre au plus profond de votre être, qui n'autorise pas l'interruption ni même le babillage
-Et bien mon ami!....Curieuse façon de se comporter pour un être en surcis en un lieu si calme... Que donc un être tel que vous peut espérer de l'éternité si ce n'est ce pour quoi il a été conçu? Vous n'êtes pas élémentaire, ni sorcier, ni même vivant.... Ici je ne vrois que la lumière ou les ténèbres ne vous écoutes, ici est un endroit à part... Mais bref que se passe -t-il donc?

"serait-ce vous le message celeste que j'attend depuis l'aube de ma vit ? Quand aurais-je le plaisir de me libérer de ce monde? que dois-je choisir ? mon coeur? ou mes origines ? je ne puis rester ainsi. la fatigue me ronge. et mon passé me dévore. je souhaite être ce que tous le monde aspire, un être simple sans soucis. Comment avez-vous fait pour rester hors de ce monde ? vous semblait tellement froid, ce monde ne vous touche donc pas ?