hj : tu as raison, je suis impardonnable, je n'avais même pas pensé à ça ! Eh bien, puisque nous sommes ici, devisons en marchant, parmi les senteurs lourdes mêlées, les moiteurs entrelacées, les bruits hurlants, qu'en dis-tu ?
*marche à la recherche de parchemins à acheter. ne songe plus à la Vampire... qu'il aperçoit cependant au bout de la rue. s'approche d'elle.*
asulim te, Desstohtessë ! Je ne pensais pas vous retrouver de sitôt : je vous avoue que je ne pensais pas vous retrouver de sitôt. Et j'espère ne pas vous avoir blessé l'autre jour, j'ai été un peu brusque, pardonnez-moi. Mais maintenant que je suis ici, je suis toute ouïe !
*sourit.*